Le silence de l'exode 1 (Ramses)Le silence de l'exode 2 (Rouge)Le silence de l'exode 3 (Révélation)Le silence de l'exode 4 (Errance)Le silence de l'exode 5 (Chaos)Le silence de l'exode 6 (Sarab)Le silence de l'exode 7 (L'eau jaillie du rocher)Le si
Collations :
Caractéristique matérielle : 1 d.c.
Le silence de l'exode 1 (Ramses) - Le silence de l'exode 2 (Rouge) - Le silence de l'exode 3 (Révélation) - Le silence de l'exode 4 (Errance) - Le silence de l'exode 5 (Chaos) - Le silence de l'exode 6 (Sarab) - Le silence de l'exode 7 (L'eau jaillie du rocher) - Le silence de l'exode 8 (Sinaï) - Le silence de l'exode 9 (Ivresse) - Le silence de l'exode 10 (Solitude 1) - Le silence de l'exode 11 (Mémoires) - Le silence de l'exode 12 (Silence) - Le silence de l'exode 13 (Solitude 2) - Le silence de l'exode 14 (Moïse), Dimension : CD Audio, Nbr de pages : Musical,
Clarinettiste virtuose et compositeur inspiré, Yom a conçu "Le Silence de l'Exode" comme un voyage en double miroir, entre puissante ancestralité et étonnante modernité. Partant de l'épisode historique et fondateur de la sortie d'Egypte du peuple juif et de ses longues années d'errance dans le désert du Sinaï, Yom se plonge dans la confrontation universelle de l'humain avec sa solitude existentielle, au travers de tous les exodes, quels que soient leur point de départ et leur destination. Entouré des non moins inspirés contrebassiste d'origine arménienne Claude Tchamitchian, violoncelliste oriental Farid D. et percussionniste iranien Bijan Chémirani, Yom livre une traversée hypnotique d'un ailleurs mystique, à la croisée des musiques juives, orientales et moyen-orientales. « Présentée lors du dernier Festival d’Ile de France, la création Le Silence de l’Exode vient s’ajouter à la liste hétéroclite des projets avec lesquels le clarinettiste Yom tourne régulièrement. Loin des fantaisies rock-electro de ses Wonder Rabbis, il y met en musique, en configuration acoustique, la sortie d’Egypte, mythe fondateur du peuple juif : un retour aux sources réinventé pour ce créatif invétéré, qui relit la tradition klezmer en puisant à la fois aux racines ashkénazes et aux sonorités séfarades. De ces quarante années d’errance dans le désert, il exalte ainsi les accents les plus mystiques, accompagné par les archets de Farid D, au violoncelle oriental, et de Claude Tchamitchian, à la contrebasse, ainsi que par les percussions iraniennes (zarb, daf et bendir) de Bijan Chemirani. Les envolées répétitives et véloces de sa clarinette, qui rappellent ses furieuses variations en duo avec Wang Li, mènent à la transe. Ces solos très denses alternent avec des mesures plus dépouillées, plus méditatives. Le tout traduit dans un juste équilibre les craintes, les espoirs et l’indéfectible ferveur éprouvés dans l’Exode. » Anne Berthod, Télérama