Dans son troisième album, le chanteur parle de sa proximité perdue à sa terre. Il raconte la nostalgie qui le rattache à ses racines et l'oubli qui le pousse à la pérégrination. Mêlant piano, clavecin, percussions, batterie, synthétiseurs, mélodica et nay, cet opus joue la réconciliation entre les différents parcours musicaux de Bachar Mar-Khalifé (entre la percussion et le piano), et consacre le chant en arabe comme instrument central de son expression. Plus que jamais, sa liberté triomphe de toute contrainte stylistique.